Les réseaux criminels

réseau social » fait son apparition dans le langage populaire en même temps que les Facebook, LinkedIn

Ouvrage Collectif

Rémi BOIVIN, Carlo MORSELLI

 

Editeur : Presse de l’Université de Montréal

Prix Indicatif : 31€

Nombre de pages : 330

Date de Parution : 11 Janvier 2016

 

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Si l'expression « réseau social » fait son apparition dans le langage populaire en même temps que les Facebook, LinkedIn et autres plateformes d'échange, le concept est présent dans les sciences sociales depuis au moins les années 1930. De fait, les premières applications formelles de techniques d'analyse des réseaux sociaux (ARS), notamment dans les travaux sur les prisons et les maisons de réforme, sont apparues à la fin des années 1990. Elles connaissent depuis une croissance exponentielle et très prometteuse. Le but de cet ouvrage n'est pas d'expliquer les grands principes de l'ARS, mais plutôt d'en appliquer les concepts et la méthodologie à l'étude du crime et des délinquants. Dans cette perspective, les textes de spécialistes de diverses disciplines - criminologues, certes, mais aussi politologues, psychologues et mathématiciens - et de membres de corps policiers apportent une contribution importante pour qui doit appréhender la complexité, elle aussi toujours grandissante, de réseaux criminels de plus en plus « branchés ».
Les directeurs Rémi Boivin est professeur adjoint à l’École de criminologie de l’Université de Montréal, chercheur régulier au Centre international de criminologie comparée (CICC) et chercheur au Centre d’études et de recherches internationales de l’Université de Montréal (CÉRIUM). Carlo Morselli est professeur titulaire à l’École de criminologie de l’Université de Montréal, directeur du Centre international de criminologie comparée (CICC) et chercheur au Centre d’études et de recherches internationales de l’Université de Montréal (CÉRIUM).
4.05

Présentation

Si l'expression « réseau social » fait son apparition dans le langage populaire en même temps que les Facebook, LinkedIn et autres plateformes d'échange, le concept est présent dans les sciences sociales depuis au moins les années 1930. De fait, les premières applications formelles de techniques d'analyse des réseaux sociaux (ARS), notamment dans les travaux sur les prisons et les maisons de réforme, sont apparues à la fin des années 1990. Elles connaissent depuis une croissance exponentielle et très prometteuse. Le but de cet ouvrage n'est pas d'expliquer les grands principes de l'ARS, mais plutôt d'en appliquer les concepts et la méthodologie à l'étude du crime et des délinquants. Dans cette perspective, les textes de spécialistes de diverses disciplines - criminologues, certes, mais aussi politologues, psychologues et mathématiciens - et de membres de corps policiers apportent une contribution importante pour qui doit appréhender la complexité, elle aussi toujours grandissante, de réseaux criminels de plus en plus « branchés ».
Les directeurs Rémi Boivin est professeur adjoint à l’École de criminologie de l’Université de Montréal, chercheur régulier au Centre international de criminologie comparée (CICC) et chercheur au Centre d’études et de recherches internationales de l’Université de Montréal (CÉRIUM). Carlo Morselli est professeur titulaire à l’École de criminologie de l’Université de Montréal, directeur du Centre international de criminologie comparée (CICC) et chercheur au Centre d’études et de recherches internationales de l’Université de Montréal (CÉRIUM).
Evaluation
Particulièrement Intéressant
Lorsque les réseaux sociaux se déclinent en application criminelle. Ouvrage original et novateur en criminologie... Jugez vous même par ce petit extrait explicite à télécharger : Extrait  

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